Après plusieurs milliers d'AL de voyages, me voilà rentré dans la bulle humaine. J'en ai profiter pour visiter une base Thargoid et un site de crash d'un intercepteur Thargo. Cela m'a permis en sus d'avoir accès au Professeur Palin pour jouir de moteur totalement augmentés !

Je me sens un peu perdu de retour chez les humains. Trop de choses à faire : missions guardian, power play etc. Trop de choses nuisent à mon bien être. Il me faut fixer un objectif simple et le suivre...

Après une frayeur suite à une surchauffe autour d'une naine rouge me voilà enfin à bon port : Eta Carina. L'exploration détaillée de cette nébuleuse débute. J'ai eut vent de ruines Guardians ! J'ai hâte de voir ça en espérant en trouver de nouvelles.

En attendant, voilà une image d'une étoile à neutron aux abords de la nébuleuse.

Me voilà arrivée au système double d'Eta Carina. 2 étoiles et 1 planète avec des résidus biologiques et géologiques. J'aime l'éclat bleuté de ces étoiles. Ca teint l'ensemble des étoile d'un filtre froid alors que l'irradiation semble nous chauffer le coeur de l'intérieur.

J'ai quitté la nébuleuse de la Statue de la Liberté sans encombres. Aucun nuage de poussières n'a bloqué mon chemin. Plusieurs sauts de 50 A.L. d'alternance entre naine et astres jaunes comme notre soleil d'origine.

Je suis en route pour me poser sur la seule planète disponible, et en profiter pour faire quelques réparation. Ma Conquête en a drôlement besoin.

Déjà une centaine de sauts derrière moi. Je viens de quitter la nébuleuse de la Statue de la Liberté avec Eta Carinae en ligne de mire. Son éclat me guide comme l'étoile polaire guidait les marins d'antans. Je me sens isolé et pourtant pas assez, chaque saut m'éloigne de la civilisation mais chaque saut m'apprend qu'un commandant est le plus souvent déjà passé par ici. Seul le silence m'entoure. Les signes de vies sont rares, malgré mes analyses acharnées. Rien, ni Guardian, ni Thargoid. Pourquoi ce vide ? Si une civilisation a la capacité de sauter et est bien plus vieille que nous, pourquoi si peu de colonies ?